Gaz de schiste en Seine et Marne – silence on fore...
+2
Fabien B.
citizenk
6 participants
Page 2 sur 2 • 1, 2
- LudoInvité
Re: Gaz de schiste en Seine et Marne – silence on fore...
Mer 20 Avr 2011, 16:24
Si c'est de la récupération ça ne l'est guère plus que celle des socialistes et divers gens de gauche qui ce sont pressé sur l'estrade au son de "c'est pas nous c'est eux" "eux étaient au courant pas nous" avec force renforts de drapeaux PS ou jeune socialistes ... Sans compté une deux personnes qui criaient les bonnes phrases au bon moment dans la foule ...
- benjaminMeldois
- Nombre de messages : 1500
Age : 73
Localisation : meaux
Date d'inscription : 17/01/2009
Re: Gaz de schiste en Seine et Marne – silence on fore...
Mer 20 Avr 2011, 16:55
Ludo a écrit:Si c'est de la récupération ça ne l'est guère plus que celle des socialistes et divers gens de gauche qui ce sont pressé sur l'estrade au son de "c'est pas nous c'est eux" "eux étaient au courant pas nous" avec force renforts de drapeaux PS ou jeune socialistes ... Sans compté une deux personnes qui criaient les bonnes phrases au bon moment dans la foule ...
Il est sûr que les manifestations ou meetings de l'UMP ne sont jamais organisées: pas de claque, pas de slogans, pas d'étude de terrain, etc.
Les faits sont têtus. ce gouvernement a voulu exploiter le gaz de schiste. Il semble reculer, mais en laissant la porte ouverte à une nouvelle étude du dossier, "plus tard" (après les élections, pour parler clairement). Donc on ne relâche pas la pression. Quelle que soit notre appartenance (ou non appartenance) politique, si on est contre cette exploitation.
PS: en se déplaçant on pouvait fort bien manifester avec "sa" pancarte individuelle voire sans rien, de manière individuelle et pas sous une bannière du PS, ou d'autres.
Re: Gaz de schiste en Seine et Marne – silence on fore...
Lun 03 Oct 2011, 14:45
source : le Parisien.fr
La guerre du pétrole de schiste redémarre
Par Faustine Léo | Publié le 01.10.2011, 07h00
Des collectifs opposés à la recherche de pétrole de schiste s’inquiètent de nouvelles autorisations reçues par la compagnie Toreador. Ils appellent à manifester aujourd’hui à Blandy-les-Tours.
Toreador, le retour? Dans la guerre qui fait rage entre opposants aux hydrocarbures de schiste et compagnies pétrolières, un nouvel épisode semble se jouer. La firme américaine a reçu l’autorisation d’installer à Doue et Jouarre un réseau de quatorze piézomètres, des instruments permettant d’analyser la qualité de l’eau de la nappe phréatique.
Faut-il y voir une reconversion soudaine dans l’écologie de Toreador ou un préalable à une recherche de pétrole de schiste? « Les piézomètres sont utilisés avant tout forage, admet l’entreprise. Nous avons demandé les autorisations pour avoir ces instruments en cas de besoin. Mais il n’y a pour le moment aucun projet de travaux. »
Toreador, qui a créé des plates-formes à Doue, Jouarre et Signy-Signets, prévoyait d’explorer le sous-sol afin d’y trouver du pétrole de schiste. Mais la société avait dû stopper ses activités l’hiver dernier après une forte mobilisation de la population locale. Puis elle a subi un nouveau coup d’arrêt cet été, avec la promulgation d’une loi interdisant l’exploration et l’exploitation du pétrole de schiste selon la technique de fracturation hydraulique : on injecte dans le sous-sol de l’eau, du sable et des produits chimiques à haute pression pour fracturer la roche mère et libérer les hydrocarbures.
Pour protester contre le retour de Toreador en Seine-et-Marne, un rassemblement est prévu aujourd’hui à Blandy-les-Tours à l’appel de plusieurs collectifs franciliens opposés à l’exploration du pétrole de schiste. Les élus locaux sont tout aussi remontés. « Une fois de plus, nous n’avons pas été prévenus de cette demande de Toreador, peste Jean-François Delesalle, le maire (SE) de Doue, où six piézomètres vont être installés. C’est la même chose qu’avant le vote de la loi, on a reçu le dossier une fois que la décision a été prise. Il n’y a pas de concertation avec les collectivités.
Pour la sénatrice socialiste Nicole Bricq, qui a déposé une nouvelle proposition de loi visant à interdire toute exploration ou exploitation de pétrole de schiste, tout en plaidant pour la réforme du Code minier, « tout repart comme avant. Cette loi (NDLR : la précédente, présentée par le député-maire UMP de Provins, Christian Jacob), c’est de l’enfumage. Des compagnies comme Total parlent d’utiliser de l’air comprimé au lieu d’eau, de sable et de produits chimiques. Mais ça ne change rien! La roche mère, il va bien falloir la casser! » Mais pour Christian Jacob, les opérations de Toreador sont sans danger. Il admet certes que rien n’empêche un carottage. « Mais la loi est votée, elle s’applique », insiste-t-il.
La guerre du pétrole de schiste redémarre
Par Faustine Léo | Publié le 01.10.2011, 07h00
Des collectifs opposés à la recherche de pétrole de schiste s’inquiètent de nouvelles autorisations reçues par la compagnie Toreador. Ils appellent à manifester aujourd’hui à Blandy-les-Tours.
Toreador, le retour? Dans la guerre qui fait rage entre opposants aux hydrocarbures de schiste et compagnies pétrolières, un nouvel épisode semble se jouer. La firme américaine a reçu l’autorisation d’installer à Doue et Jouarre un réseau de quatorze piézomètres, des instruments permettant d’analyser la qualité de l’eau de la nappe phréatique.
Faut-il y voir une reconversion soudaine dans l’écologie de Toreador ou un préalable à une recherche de pétrole de schiste? « Les piézomètres sont utilisés avant tout forage, admet l’entreprise. Nous avons demandé les autorisations pour avoir ces instruments en cas de besoin. Mais il n’y a pour le moment aucun projet de travaux. »
Toreador, qui a créé des plates-formes à Doue, Jouarre et Signy-Signets, prévoyait d’explorer le sous-sol afin d’y trouver du pétrole de schiste. Mais la société avait dû stopper ses activités l’hiver dernier après une forte mobilisation de la population locale. Puis elle a subi un nouveau coup d’arrêt cet été, avec la promulgation d’une loi interdisant l’exploration et l’exploitation du pétrole de schiste selon la technique de fracturation hydraulique : on injecte dans le sous-sol de l’eau, du sable et des produits chimiques à haute pression pour fracturer la roche mère et libérer les hydrocarbures.
Pour protester contre le retour de Toreador en Seine-et-Marne, un rassemblement est prévu aujourd’hui à Blandy-les-Tours à l’appel de plusieurs collectifs franciliens opposés à l’exploration du pétrole de schiste. Les élus locaux sont tout aussi remontés. « Une fois de plus, nous n’avons pas été prévenus de cette demande de Toreador, peste Jean-François Delesalle, le maire (SE) de Doue, où six piézomètres vont être installés. C’est la même chose qu’avant le vote de la loi, on a reçu le dossier une fois que la décision a été prise. Il n’y a pas de concertation avec les collectivités.
Pour la sénatrice socialiste Nicole Bricq, qui a déposé une nouvelle proposition de loi visant à interdire toute exploration ou exploitation de pétrole de schiste, tout en plaidant pour la réforme du Code minier, « tout repart comme avant. Cette loi (NDLR : la précédente, présentée par le député-maire UMP de Provins, Christian Jacob), c’est de l’enfumage. Des compagnies comme Total parlent d’utiliser de l’air comprimé au lieu d’eau, de sable et de produits chimiques. Mais ça ne change rien! La roche mère, il va bien falloir la casser! » Mais pour Christian Jacob, les opérations de Toreador sont sans danger. Il admet certes que rien n’empêche un carottage. « Mais la loi est votée, elle s’applique », insiste-t-il.
- GévéRésident à mi-temps
- Nombre de messages : 80
Age : 77
Localisation : Meaux
Date d'inscription : 24/02/2010
Re: Gaz de schiste en Seine et Marne – silence on fore...
Lun 03 Oct 2011, 23:45
La forte mobilisation de ce printemps a en partie payé. Trois importants et emblématiques permis de recherche sont en passe d'être abrogés selon un communiqué officiel de la ministre de l'écolgie. Il s'agit des permis de Nant (Aveyron), Montélimar et Villeneuve de Berg (Ardèche).
Bravo !
Mais il ne s'agit là que de trois permis sur 64 ! Il en reste 61 dont celui de Château-Thierry qui concerne la partie nord-est de la Seine et Marne. La bagarre continue donc.
Bravo !
Mais il ne s'agit là que de trois permis sur 64 ! Il en reste 61 dont celui de Château-Thierry qui concerne la partie nord-est de la Seine et Marne. La bagarre continue donc.
- benjaminMeldois
- Nombre de messages : 1500
Age : 73
Localisation : meaux
Date d'inscription : 17/01/2009
Re: Gaz de schiste en Seine et Marne – silence on fore...
Mar 04 Oct 2011, 08:10
A noter l'imposture de Borloo (ce type vendrait des réfrigérateurs aux Inuits et du sable aux Touaregs tellement il sait enfumer avec ses diarrhées verbales et son air patelin) qui a réussi à se donner une posture de Grand Ecolo Devant l'Eternel. Une de ses dernières mesures, comme ministre de l'environnement, fut de signer ces permis.
Qu'on me cite UNE de ses réalisations concrètes comme ministre de la Ville, ou comme ministre de l'Environnement! Il n'empêche... c'est dans ces domaines qu'il a bâti sa "stature". Un début comme maire de valenciennes où effectivement il a sorti la ville du marasme. Ensuite, plus rien.
Précision: avec la récession économique, la demande en gaz chute et ça durera sans doute quelques années.
Conséquence. L'abrogation des permis ne gêne en rien les compagnies. Et au moment de la reprise, j'entends déjà l'argument:
- vous voulez torpiller la reprise économique, bande de criminels. C'est ça ou la persistance de la récession, du chômage et de la misère"
Alors que si on profitait de cette période pour faire les investissements nécessaires (qui seraient réellement productifs) concernant les économies d'énergie, le gaz comme les autres formes de cette énergie seraient moins nécessaires. En outre les emplis nécessaires sont peu délocalisables.
L'énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu'on n'utilise pas.
Qu'on me cite UNE de ses réalisations concrètes comme ministre de la Ville, ou comme ministre de l'Environnement! Il n'empêche... c'est dans ces domaines qu'il a bâti sa "stature". Un début comme maire de valenciennes où effectivement il a sorti la ville du marasme. Ensuite, plus rien.
La bagarre continue donc.
Précision: avec la récession économique, la demande en gaz chute et ça durera sans doute quelques années.
Conséquence. L'abrogation des permis ne gêne en rien les compagnies. Et au moment de la reprise, j'entends déjà l'argument:
- vous voulez torpiller la reprise économique, bande de criminels. C'est ça ou la persistance de la récession, du chômage et de la misère"
Alors que si on profitait de cette période pour faire les investissements nécessaires (qui seraient réellement productifs) concernant les économies d'énergie, le gaz comme les autres formes de cette énergie seraient moins nécessaires. En outre les emplis nécessaires sont peu délocalisables.
L'énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu'on n'utilise pas.
Re: Gaz de schiste en Seine et Marne – silence on fore...
Mer 28 Mar 2012, 11:54
source > LeParisien.fr
Pétrole de schiste : le rapport explosif
A la demande du gouvernement, des experts ont rendu un rapport prônant l’utilisation de la fracturation hydraulique pour extraire le pétrole de schiste dont regorge le sous-sol francilien.
Par Faustine Léo - Publié le 27.03.2012
Voilà une faille dans l’interdiction de pratiquer la fracturation hydraulique, votée par le Parlement l’été dernier. Dans le rapport qu’ils viennent de rendre au gouvernement, le Conseil général de l’industrie, de l’énergie et des technologies et le Conseil général de l’environnement et du développement durable, dépendant des ministères de l’Economie et de l’Environnement, préconisent, selon un calendrier précis, le recours à cette technique controversée.
Il s’agit pour eux de connaître les réserves de pétrole de schiste qui dorment entre 2000 et 3000 m sous terre. Pour les exploiter, il faudrait injecter à haute pression de l’eau, du sable et des produits chimiques. C’est ainsi que de nombreux dommages ont été causés à l’environnement outre-Atlantique.
En Seine-et-Marne, le sujet est sensible puisque le territoire concentre la majorité des puits du Bassin parisien. « L’Europe n’est pas un nouvel eldorado, prévient le rapport. Même si les enjeux en termes d’emplois et de sécurité d’approvisionnement ne peuvent être ignorés. » Les pétroliers tablent, eux, sur plusieurs milliards de barils.
Des tests en région parisienne. Les titulaires des permis ont fait part de leur besoin de recueillir des données précises pour décider ou non d’exploiter le pétrole de schiste. Pour cela, le rapport propose, une fois les élections passées, de réaliser de nouveaux carottages à partir des puits existants ou à venir. Notamment dans la couche censée abriter du pétrole de schiste, ce qui n’a pour le moment été fait qu’à faible échelle, dans le Bassin parisien, à « la géologie la plus simple et où la question de la ressource en eau paraît admettre plusieurs réponses ». Début 2013 serait étudiée la décision de pratiquer la fracturation hydraulique. Il faudrait pour cela que le Parlement modifie la loi. Les premiers tests pourraient avoir lieu fin 2013. Toreador et Hess, qui avaient commencé des travaux à Doue et à Jouarre, se disent disponibles « si on fait appel à nous ». Nul doute que Vermilion, qui a déjà produit de l’huile de schiste à Jouy-le-Châtel et Vaudoy-en-Brie avant que cela soit interdit, se porte aussi candidat.
Et les risques environnementaux? Le décret créant la Commission nationale d’orientation, de suivi et d’évaluation des techniques d’exploration et d’exploitation des hydrocarbures a été publié jeudi. Composée de membres de l’administration, d’élus, de représentants d’associations et de l’industrie pétrolière et gazière, elle doit se réunir deux fois par an afin de donner son avis sur « tout projet d’expérimentation de fracturation hydraulique ou d’une technique alternative ». Ces avis seront transmis au gouvernement et au Parlement.
Un engagement de transparence. « On ne répétera pas en Europe les errements américains avec des forages peu encadrés, ajoute le rapport. Le cahier des charges sera très contraignant. La fracturation doit être sans risque. »
La mission préconise une large consultation des maires des communes concernées et limitrophes, avec en plus un affichage en mairie, des publications sur Internet et des réunions publiques.
Pétrole de schiste : le rapport explosif
A la demande du gouvernement, des experts ont rendu un rapport prônant l’utilisation de la fracturation hydraulique pour extraire le pétrole de schiste dont regorge le sous-sol francilien.
Par Faustine Léo - Publié le 27.03.2012
Voilà une faille dans l’interdiction de pratiquer la fracturation hydraulique, votée par le Parlement l’été dernier. Dans le rapport qu’ils viennent de rendre au gouvernement, le Conseil général de l’industrie, de l’énergie et des technologies et le Conseil général de l’environnement et du développement durable, dépendant des ministères de l’Economie et de l’Environnement, préconisent, selon un calendrier précis, le recours à cette technique controversée.
Il s’agit pour eux de connaître les réserves de pétrole de schiste qui dorment entre 2000 et 3000 m sous terre. Pour les exploiter, il faudrait injecter à haute pression de l’eau, du sable et des produits chimiques. C’est ainsi que de nombreux dommages ont été causés à l’environnement outre-Atlantique.
En Seine-et-Marne, le sujet est sensible puisque le territoire concentre la majorité des puits du Bassin parisien. « L’Europe n’est pas un nouvel eldorado, prévient le rapport. Même si les enjeux en termes d’emplois et de sécurité d’approvisionnement ne peuvent être ignorés. » Les pétroliers tablent, eux, sur plusieurs milliards de barils.
Des tests en région parisienne. Les titulaires des permis ont fait part de leur besoin de recueillir des données précises pour décider ou non d’exploiter le pétrole de schiste. Pour cela, le rapport propose, une fois les élections passées, de réaliser de nouveaux carottages à partir des puits existants ou à venir. Notamment dans la couche censée abriter du pétrole de schiste, ce qui n’a pour le moment été fait qu’à faible échelle, dans le Bassin parisien, à « la géologie la plus simple et où la question de la ressource en eau paraît admettre plusieurs réponses ». Début 2013 serait étudiée la décision de pratiquer la fracturation hydraulique. Il faudrait pour cela que le Parlement modifie la loi. Les premiers tests pourraient avoir lieu fin 2013. Toreador et Hess, qui avaient commencé des travaux à Doue et à Jouarre, se disent disponibles « si on fait appel à nous ». Nul doute que Vermilion, qui a déjà produit de l’huile de schiste à Jouy-le-Châtel et Vaudoy-en-Brie avant que cela soit interdit, se porte aussi candidat.
Et les risques environnementaux? Le décret créant la Commission nationale d’orientation, de suivi et d’évaluation des techniques d’exploration et d’exploitation des hydrocarbures a été publié jeudi. Composée de membres de l’administration, d’élus, de représentants d’associations et de l’industrie pétrolière et gazière, elle doit se réunir deux fois par an afin de donner son avis sur « tout projet d’expérimentation de fracturation hydraulique ou d’une technique alternative ». Ces avis seront transmis au gouvernement et au Parlement.
Un engagement de transparence. « On ne répétera pas en Europe les errements américains avec des forages peu encadrés, ajoute le rapport. Le cahier des charges sera très contraignant. La fracturation doit être sans risque. »
La mission préconise une large consultation des maires des communes concernées et limitrophes, avec en plus un affichage en mairie, des publications sur Internet et des réunions publiques.
- benjaminMeldois
- Nombre de messages : 1500
Age : 73
Localisation : meaux
Date d'inscription : 17/01/2009
Re: Gaz de schiste en Seine et Marne – silence on fore...
Mer 28 Mar 2012, 13:46
Ben oui, les promesses n'engagent que ceux qui y croient...
Pour le moment on fait des "expériences" mais vous verrez que quand le gaz aura augmenté de 40%, qu'on parlera d'en faire baisser le prix tout en filant des compensations aux communes concernées, le nombre d'opposants diminuera.
Rappelez vous la petite provoc que j'avais lancée... La réaction initiale était bien "pas chez moi".
On est passé (et c'était bien) à "gaz de schiste, ni ici ni ailleurs" mais le temps fait son oeuvre...
Mode désabusé OFF
Pour le moment on fait des "expériences" mais vous verrez que quand le gaz aura augmenté de 40%, qu'on parlera d'en faire baisser le prix tout en filant des compensations aux communes concernées, le nombre d'opposants diminuera.
Rappelez vous la petite provoc que j'avais lancée... La réaction initiale était bien "pas chez moi".
On est passé (et c'était bien) à "gaz de schiste, ni ici ni ailleurs" mais le temps fait son oeuvre...
Mode désabusé OFF
Page 2 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum