Meaux, la police municipale change de selle.
Jeu 15 Avr 2010, 01:23
La garde « démontée ».
Les huit policiers municipaux formés par la Ville de Meaux pour constituer une brigade équestre vont changer de montures. Créée en 2007 afin d’assurer la sécurité dans des secteurs dont l’accès est difficile aux véhicules motorisés - plage et parc naturel du Pâtis -, 3 chevaux étaient achetés pour assurer les rondes.
Leur hébergement au club hippique de Meaux, leur entretien quotidien et le matériel nécessaire ont conduit les élus à dissoudre la brigade équestre, considérée trop onéreuse. Les équidés ont donc été revendus et les agents devront ... pédaler à la brigade VTT.
source: http://seine-et-marne.evous.fr/Meaux-la-police-municipale-change,3880.html
Re: Meaux, la police municipale change de selle.
Jeu 15 Avr 2010, 11:27
C'est dommage de perdre la brigade équestre... en même temps on ne va pas être contre que la ville veuille faire des économies.
- GévéRésident à mi-temps
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Re: Meaux, la police municipale change de selle.
Mar 20 Avr 2010, 21:21
On peut contester le choix des économies ! La présence des policiers à cheval était une façon plutôt intelligente de manifester l'autorité dans le parc public. Je doute que l'économie réalisée par la suppression de 3 chevaux soit visible dans les 75 millions d'euros de budget de fonctionnement ! Le budget de publicité de la ville permettrait des économies autrement plus importantes !
Re: Meaux, la police municipale change de selle.
Mar 20 Avr 2010, 22:02
La police montée a-t-elle une véritable utilité, à Meaux ?
La police montée on s'en sert en général pour les rassemblements de foule important. Parce que ça donne un point de vue haut. Mais à Meaux rare sont les occasions où un rassemblement de foule nécessiterait la présence de chevaux. A Saint-Denis près du stade de foot, j'imagine que les jours de match ça aurait un intérêt. Où à Disney, ça a un intérêt. A Meaux...
Pour la surveillance des espaces naturels et des parcs, ça peut aussi avoir un intérêt. C'était d'ailleurs un peu la justification d'avoir recours à cette brigade équestre. Mais est-ce que ce n'est pas plus folklorique (l'image d'épinal de la police montée canadienen... ^^) qu'autre chose d'avoir des chevaux dans un parc ? Je ne suis pas convaincu que ce soit un plus pour la surveillance.
Par contre, à cause des chevaux, l'image de cette police est on ne peut plus positive. C'est sympathique. Et ça crée une proximité immédiate avec les habitants. C'est vraiment la police au service des habitants, qui "protège les habitants" (même si elle n'agit pas réellement) et pas celle qui flique, ou qui verbalise. C'est le coté "humain" de la police, mais qui a un coût... D'ailleurs vous parlez de publicité Gévé, je ne vous donne pas tort (surtout que je ne trouve pas que la ville communique spécialement bien), mais la police montée c'est aussi de la com'. Et une forme intelligente de com'... La ville y renonce. elle y reviendra peut-être un jour.
La police montée on s'en sert en général pour les rassemblements de foule important. Parce que ça donne un point de vue haut. Mais à Meaux rare sont les occasions où un rassemblement de foule nécessiterait la présence de chevaux. A Saint-Denis près du stade de foot, j'imagine que les jours de match ça aurait un intérêt. Où à Disney, ça a un intérêt. A Meaux...
Pour la surveillance des espaces naturels et des parcs, ça peut aussi avoir un intérêt. C'était d'ailleurs un peu la justification d'avoir recours à cette brigade équestre. Mais est-ce que ce n'est pas plus folklorique (l'image d'épinal de la police montée canadienen... ^^) qu'autre chose d'avoir des chevaux dans un parc ? Je ne suis pas convaincu que ce soit un plus pour la surveillance.
Par contre, à cause des chevaux, l'image de cette police est on ne peut plus positive. C'est sympathique. Et ça crée une proximité immédiate avec les habitants. C'est vraiment la police au service des habitants, qui "protège les habitants" (même si elle n'agit pas réellement) et pas celle qui flique, ou qui verbalise. C'est le coté "humain" de la police, mais qui a un coût... D'ailleurs vous parlez de publicité Gévé, je ne vous donne pas tort (surtout que je ne trouve pas que la ville communique spécialement bien), mais la police montée c'est aussi de la com'. Et une forme intelligente de com'... La ville y renonce. elle y reviendra peut-être un jour.
- benjaminMeldois
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Re: Meaux, la police municipale change de selle.
Mar 20 Avr 2010, 23:14
Pour la surveillance des espaces naturels et des parcs, ça peut aussi avoir un intérêt. C'était d'ailleurs un peu la justification d'avoir recours à cette brigade équestre. Mais est-ce que ce n'est pas plus folklorique (l'image d'épinal de la police montée canadienen... ^^) qu'autre chose d'avoir des chevaux dans un parc ? Je ne suis pas convaincu que ce soit un plus pour la surveillance.
Erreur... justement dans des espaces comme la zone du Pâtis, le bois de Boulogne, etc. c'est bien plus qu'un intéret limité, c'est fondamental: on voit de haut, loin, on va vite sur les lieux de troubles
Cela dit, c'est vrai que ça devait coûter très cher...
NB: il doit y avoir moins d'un flic sur cent, de la police militaire canadienne, qui fait du cheval de nos jours
- GévéRésident à mi-temps
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Re: Meaux, la police municipale change de selle.
Mar 20 Avr 2010, 23:34
Je ferai une comparaison avec les parcs plus habituels en ville. La présence des gardiens en uniforme est le signe qu'il s'agit de lieux publics, clairement délimités, et placés sous l'autorité publique. Leur rôle symbolique me paraît très important pour que chacun ait une bonne "lisibilité" des espaces. J'aurais préféré des gardiens du Pâtis plutôt que des policiers, mais puisque cela avait été décidé comme cela, va pour des policiers. Le fait qu'ils soient montés me paraissait en parfaite cohérence avec le lieu. Je crois beaucoup, en matière de prévention, à la manifestation sans ambiguité de l'autorité publique. Cela évite beaucoup de répression. Le symbole est trop cher ?
- benjaminMeldois
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Re: Meaux, la police municipale change de selle.
Mer 21 Avr 2010, 00:03
J'aurais préféré des gardiens du Pâtis plutôt que des policiers, mais
puisque cela avait été décidé comme cela, va pour des policiers.
Il y a quand même dèjà eu deux viols, et le très grand nombre de gosses qui fréquentent cet endroit mérite une bonne sécurisation... par des pros habilités à interpeller pour éviter que la "ghettoïsation" et la peur ne le rende inutile pour la plus grande part de la population. Vous avez raison: l'idéal serait une présence assez dissuasive pour qu'il n'y ait quasiment jamais d'interpellation!
Ce que je déplore, moi, c'est l'extension de ces "gardes prétoriennes" que représentent les polices municipales au détriment de la police nationale et des gendarmes
Re: Meaux, la police municipale change de selle.
Mer 28 Avr 2010, 21:44
Petite précision : Les 3 chevaux sont aux écuries de Rutel (près de Villenoy) et non à Rethel, comme j'ai pu le lire dans le dernier tapage.
- GévéRésident à mi-temps
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Re: Meaux, la police municipale change de selle.
Jeu 29 Avr 2010, 09:15
Le journal La Marne du 3 mars 2010 les indique aux "Écuries de Rethel dans les Ardennes". Il est vrai que ceci n'est qu'un détail.
- benjaminMeldois
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Re: Meaux, la police municipale change de selle.
Jeu 29 Avr 2010, 14:34
Sauf que s'ils venaient par leurs propres moyens et par la route, il fallait les ferrer deux ou trois fois sur le trajet...
- benjaminMeldois
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Re: Meaux, la police municipale change de selle.
Lun 31 Mai 2010, 14:03
Un article de blog qui porte un éclairage intéressant, je trouve. Je recommande d'ailleurs le blog tout entier: un regard sur une police qui serait entièrement républicaine et au service du citoyen : POLICEtcetera, le blog de George Moréas.
Le cheval, meilleur ami du policier
2010 pourrait bien être l’année du cheval. En effet, au mois de janvier, quatorze députés se sont penchés sur le destin de cet animal, autrefois dit de labeur, et aujourd’hui essentiellement cantonné à des activités sportives et de loisirs. Ils ont donc déposé une garde-a-cheval_blog-clic-cheval.1275214216.jpgproposition de loi pour que le cheval ne soit plus considéré comme un animal de rente, destiné à finir sa vie à l’abattoir, mais comme un animal de compagnie. « Rien ne différencie plus le chien, animal de compagnie, d’un cheval, animal de rente », a dit le député Lionnel Luca, qui est à l’origine de cette initiative. En fait, il s’agit d’ajouter une petite phrase au Code rural : « Art. L. 212-9 A. – Le cheval est un animal de compagnie tel que défini par les dispositions du présent code à l’article L. 214-6. »
Dans la police et dans la gendarmerie, ce n’est pas tout à fait vrai, car le cheval et le chien ne sont pas des animaux de compagnie mais plutôt des « collaborateurs » à quatre pattes.
Et en cherchant à me documenter sur le sujet, je suis tombé sur un personnage original : un commissaire divisionnaire qui s’est réorienté vers l’enseignement, puisqu’il est aujourd’hui professeur à Paris VIII, et qu’il a créé une école d’équitation destinée à former des jeunes « qui se cherchent ».
Philippe Vénère, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est un policier un rien atypique. 37 ans de police, dont 6 comme gardien de la paix. C’est lui, par exemple, qui a ouvert les portes de la 1ère DPJ (division de police judiciaire) de la rue de Courcelles, à Paris, à Bertrand Tavernier, afin qu’il puisse s’inspirer de ces locaux de police particulièrement repoussants pour tourner L.627, film qui a attiré l’attention sur les conditions de travail des policiers.
C’est lui également, alors qu’il dirigeait la 4ème BT (brigade territoriale), en 1984, qui a reçu la mission impossible d’évacuer le squat de « l’îlot Chalon ». Une sorte de cour des miracles qui était devenue un véritable centre commercial de la drogue. On raconte, qu’au flan, il a demandé 1000 hommes. Accordé, a répondu le préfet de police. Et cette opération casse-gueule, et forcément impopulaire, s’est déroulée sans bobo.
Donc, en 1999, avec un officier de l’armée de l’Air, Gilbert La Sala, il fonde l’École des gardes à cheval de Soissons, destinée à former des jeunes qui veulent concilier leur métier et leur passion pour le cheval. « Aujourd’hui, 85% de nos stagiaires sont placés dès la sortie de la formation », dit-il. Les débouchés : gardes-vert, gphilippe-venere_france5.1275299583.jpgardes-chasse, gardes forestiers, et même des sociétés de surveillance qui parfois font appel à des cavaliers. À noter que la gendarmerie nationale recrute des gendarmes adjoints à cheval.
Sinon, pour la police nationale ou municipale et pour la gendarmerie, notamment la Garde républicaine, il faut d’abord passer le concours commun à tous les candidats.
De par le monde, de très grandes villes sont dotées d’une police montée. En France, on semble un peu en retrait. Pourtant, l’idée fait son chemin auprès de certains maires et l’on commence ici ou là à voir apparaître des brigades équestres.
Le policier ou gendarme à cheval présente plusieurs avantages. D’abord, par sa situation dominante, il a une vision étendue. Ensuite, il peut crapahuter dans les espaces verts ou sur des chemins impraticables pour des engins motorisés.
Mais l’avantage le plus important est psychologique. Le couple policier-cheval ne dégage aucune agressivité, bien au contraire. En plus, il est écolo. À son passage, c’est comme si on arrêtait le temps. Comment dire, le flic, sur son canasson, il est sympa.
Je sais bien que rendre les policiers sympathiques n’est pas la préoccupation première ni des maires ni d’un ministre.
Ils n’ont pas nécessairement raison. L’autre jour, à Limoges, une jeune femme demande l’aide d’un CRS : son bébé de quatre jours est tombé à l’eau et il ne respire plus. Le policier prodigue un massage cardiaque et le bébé reprend vie. Quelques semaines auparavant, sur l’autoroute A25, c’est une policière qui se transforme en sage-femme pour aider à mettre au monde un petit Mathis.
La routine me direz-vous. Oui, mais pourquoi ne montrer toujours que le côté noir des choses ?
Cela dit, le cheval n’a pas encore gagné la partie. Car il n’est pas du tout certain que les députés acceptent de le classer parmi les animaux de compagnie. À cela, il y a plein de raisons pratiques que rappelle le Groupe des entreprises du secteur cheval en agriculture (GESCA) dans un rapport qui conclut que « le cheval animal de sport, de sport de loisirs, de trait, de consommation [doit être] maintenu dans la classification juridique d’animal de rente ».
Avec un argument fort, surtout à notre époque : 70 000 emplois à la clé.
Ce qui me gêne le plus, c’est le mot « consommation ».
D’ailleurs, en fin de carrière, les chevaux de la Garde républicaine ne sont plus envoyés à l’abattoir, mais ils peuvent être rachetés par leur cavalier ou confiés à des associations.
Pour moi, et je crois que nous sommes nombreux dans ce cas, le steak de cheval ne passe pas.
Le cheval, meilleur ami du policier
2010 pourrait bien être l’année du cheval. En effet, au mois de janvier, quatorze députés se sont penchés sur le destin de cet animal, autrefois dit de labeur, et aujourd’hui essentiellement cantonné à des activités sportives et de loisirs. Ils ont donc déposé une garde-a-cheval_blog-clic-cheval.1275214216.jpgproposition de loi pour que le cheval ne soit plus considéré comme un animal de rente, destiné à finir sa vie à l’abattoir, mais comme un animal de compagnie. « Rien ne différencie plus le chien, animal de compagnie, d’un cheval, animal de rente », a dit le député Lionnel Luca, qui est à l’origine de cette initiative. En fait, il s’agit d’ajouter une petite phrase au Code rural : « Art. L. 212-9 A. – Le cheval est un animal de compagnie tel que défini par les dispositions du présent code à l’article L. 214-6. »
Dans la police et dans la gendarmerie, ce n’est pas tout à fait vrai, car le cheval et le chien ne sont pas des animaux de compagnie mais plutôt des « collaborateurs » à quatre pattes.
Et en cherchant à me documenter sur le sujet, je suis tombé sur un personnage original : un commissaire divisionnaire qui s’est réorienté vers l’enseignement, puisqu’il est aujourd’hui professeur à Paris VIII, et qu’il a créé une école d’équitation destinée à former des jeunes « qui se cherchent ».
Philippe Vénère, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est un policier un rien atypique. 37 ans de police, dont 6 comme gardien de la paix. C’est lui, par exemple, qui a ouvert les portes de la 1ère DPJ (division de police judiciaire) de la rue de Courcelles, à Paris, à Bertrand Tavernier, afin qu’il puisse s’inspirer de ces locaux de police particulièrement repoussants pour tourner L.627, film qui a attiré l’attention sur les conditions de travail des policiers.
C’est lui également, alors qu’il dirigeait la 4ème BT (brigade territoriale), en 1984, qui a reçu la mission impossible d’évacuer le squat de « l’îlot Chalon ». Une sorte de cour des miracles qui était devenue un véritable centre commercial de la drogue. On raconte, qu’au flan, il a demandé 1000 hommes. Accordé, a répondu le préfet de police. Et cette opération casse-gueule, et forcément impopulaire, s’est déroulée sans bobo.
Donc, en 1999, avec un officier de l’armée de l’Air, Gilbert La Sala, il fonde l’École des gardes à cheval de Soissons, destinée à former des jeunes qui veulent concilier leur métier et leur passion pour le cheval. « Aujourd’hui, 85% de nos stagiaires sont placés dès la sortie de la formation », dit-il. Les débouchés : gardes-vert, gphilippe-venere_france5.1275299583.jpgardes-chasse, gardes forestiers, et même des sociétés de surveillance qui parfois font appel à des cavaliers. À noter que la gendarmerie nationale recrute des gendarmes adjoints à cheval.
Sinon, pour la police nationale ou municipale et pour la gendarmerie, notamment la Garde républicaine, il faut d’abord passer le concours commun à tous les candidats.
De par le monde, de très grandes villes sont dotées d’une police montée. En France, on semble un peu en retrait. Pourtant, l’idée fait son chemin auprès de certains maires et l’on commence ici ou là à voir apparaître des brigades équestres.
Le policier ou gendarme à cheval présente plusieurs avantages. D’abord, par sa situation dominante, il a une vision étendue. Ensuite, il peut crapahuter dans les espaces verts ou sur des chemins impraticables pour des engins motorisés.
Mais l’avantage le plus important est psychologique. Le couple policier-cheval ne dégage aucune agressivité, bien au contraire. En plus, il est écolo. À son passage, c’est comme si on arrêtait le temps. Comment dire, le flic, sur son canasson, il est sympa.
Je sais bien que rendre les policiers sympathiques n’est pas la préoccupation première ni des maires ni d’un ministre.
Ils n’ont pas nécessairement raison. L’autre jour, à Limoges, une jeune femme demande l’aide d’un CRS : son bébé de quatre jours est tombé à l’eau et il ne respire plus. Le policier prodigue un massage cardiaque et le bébé reprend vie. Quelques semaines auparavant, sur l’autoroute A25, c’est une policière qui se transforme en sage-femme pour aider à mettre au monde un petit Mathis.
La routine me direz-vous. Oui, mais pourquoi ne montrer toujours que le côté noir des choses ?
Cela dit, le cheval n’a pas encore gagné la partie. Car il n’est pas du tout certain que les députés acceptent de le classer parmi les animaux de compagnie. À cela, il y a plein de raisons pratiques que rappelle le Groupe des entreprises du secteur cheval en agriculture (GESCA) dans un rapport qui conclut que « le cheval animal de sport, de sport de loisirs, de trait, de consommation [doit être] maintenu dans la classification juridique d’animal de rente ».
Avec un argument fort, surtout à notre époque : 70 000 emplois à la clé.
Ce qui me gêne le plus, c’est le mot « consommation ».
D’ailleurs, en fin de carrière, les chevaux de la Garde républicaine ne sont plus envoyés à l’abattoir, mais ils peuvent être rachetés par leur cavalier ou confiés à des associations.
Pour moi, et je crois que nous sommes nombreux dans ce cas, le steak de cheval ne passe pas.
Re: Meaux, la police municipale change de selle.
Lun 31 Mai 2010, 16:54
Ces propos sont plus ou moins ceux que l'on avançait dans les intéreventions précédentes... en un peu plus fouillé tout de même
- "Appels d'urgence - Bandes, rackets, vols : la police municipale de Meaux en action"... Une énième émission racoleuse.
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